Vingt-cinq journalistes de Bukavu viennent d’apprendre et de ressasser la couverture médiatique en période de guerre avec focus sur les questions humanitaires. C’est au cours de l’atelier de formation que le Comité international de la Croix rouge (CICR) a organisé, hier mercredi 12 mars, à son bureau situé sur le boulevard Lumumba à Nyamoma La Botte dans la commune d’Ibanda.
La cheffe de sa sous-délégation à Bukavu, Sabrina Denuncq, le CICR considère que les journalistes ont une responsabilité dans une situation de crise. D’après elle, les journalistes doivent éviter la désinformation. La vérification de l’information s’avère nécessaire.
Dans les pays en conflits comme la RDC, le CICR vient en aide aux combattants blessés de guerre et des blessés par balles. Le CICR visite les prisonniers de guerre et assiste les civils. Il rétablit les contacts entre les membres des familles dispersés per un conflit et veille à ce que les personnes protégées par le droit international humanitaire soient traitées en conséquence.
Les 25 participants viennent de s’engager à faire de leur mieux pour répondre à l’attente du CICR et de la communauté pendant cette période de crise humanitaire dans la ville de Bukavu.
Héritier Bashige
