Sud-kivu : la volonté politique n’agit pas pour résoudre les problèmes des conflits et d’insécurité

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Les êtres humains doivent valoriser la tolérance, le dialogue interculturel et le respect de la diversité dans la communauté. Les peuples doivent valoriser le vivre ensemble et éviter les conflits. Le chercheur en paxologie, Benjamin Ciza, le souligne en marge de la journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale célébrée ce vendredi 21 mars. Et ce, sous le thème, de l’engagement puissant et mondial aux fins de l’élimination de la discrimination raciale sous toutes ses formes.

Benjamin Ciza définit aussi la paix comme l’acceptation des autres, la tolérance et l’échange mutuel. Il préconise la tolérance mutuelle en cette période de tension dans la province du Sud-Kivu et l’Est de la RDC. Tout en fustigeant le manque de volonté politique nécessaire pour agir résolument aux problèmes de conflits, il est temps, d’après lui, de marquer une nouvelle empreinte en valorisant le vivre ensemble et la cohabitation pacifique.

La journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale est l’occasion pour chacun de repenser au principe fondamental énoncé dans la charte des Nations Unies et la déclaration universelle des droits l’homme, celui de l’égalité de tous les êtres humains, et le mettre en pratique renchérit-il.

La célébration de cette journée internationale marque, cette année 2025, le 60ème anniversaire de l’adoption de la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale.

Patrick Cishibanji

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