
Le Souverain Libre vient de sortir de presse son numéro 326 qui couvre la deuxième quinzaine de novembre 2024.
L’éditorialiste titre « Jamais tard ».
Le gouvernement provincial du Sud-Kivu dépose le projet du budget d’environ 270 millions de dollars pour l’exercice 2025.
La société civile espère voir le montant faire éviter des grèves intempestives des enseignants et avancer la réhabilitation de la route de Bukavu-Mugogo-Kamituga.
L’assemblée provinciale n’examine pas et ne vote pas le budget du Sud-Kivu depuis 2 ou 3 ans.
Les bonnes finances entretiennent aussi une certaine harmonie interinstitutionnelle.
L’instabilité des institutions provinciale résulte des conflits permanents entre les gouvernements et les assemblées.
Les gouverneurs des provinces réclament des crédits d’investissement et des frais de fonctionnement.
Les chefs des exécutifs provinciaux seront désormais cotés en fonction de leur capacité à gérer la mise en œuvre des projets retenus dans la deuxième phase du programme de développement local de 145 territoires.
Ils viennent de tenir leurs 11 ième conférences à Kalemie dans la province de Tanganyika.
Les colonnes du numéro 326 de ce journal pour la promotion de la démocratie et de la femme sont remplies des reportages et analyses autant intéressants.
C’est comme la nouvelle identité de l’avenue Hippodrome qui s’appelle désormais avenue Solange Lusiku, sur base du récent arrêté du gouverneur du Sud-Kivu, Jean Jacques Purusi.
Cette défunte éditrice directrice prestait pendant des longues années jusqu’à sa mort en 2018 dans cette rue.
L’illustre disparue a laissé plein des trophées et titres de reconnaissance nationale et internationale.
Il était temps que la province honore sa fille à titre posthume.
Et c’est curieux et étonnant de lire que les politiques manipulent les enfants et les miniers les exploitent.
La page sportive du Souverain Libre relate comment Bukavu Dawa bataille pour la qualification et Etoile du Kivu lutte contre la relégation.
Rachel Fadhili
