La journée vise à promouvoir la compréhension et le dialogue entre les personnes vivant dans la pauvreté et la société dans son ensemble.
Josué Cirhuza, étudiant de la faculté des lettres et civilisations anglaises à l’université officielle de Bukavu, UOB indique que les jeunes doivent capitaliser les opportunités de ceux qui se présentent.
Etant artiste, il appelle les jeunes à barrer la route de la naïveté.
Le thème de cette année plaide en faveur de l’accès universel au travail décent et à la protection sociale en tant que moyen de préserver la dignité humaine pour tous.
Il insiste aussi sur le fait que le travail décent permet l’autonomisation des personnes, offre des salaires équitables et des conditions de travail sûres, et reconnaît la valeur inhérente et l’humanité de tous les travailleurs.
Les personnes qui vivent dans la pauvreté doivent faire face à des nombreuses discriminations.
C’est entre autres des conditions de travail dangereuses, des conditions de logement insalubres, un accès inégal à la justice, une absence de participation politique, et un manque d’accès aux soins de santé.
La célébration de la Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté remonte au 17 octobre 1987.
Ce jour-là, une centaine de milliers de personnes se sont rassemblées au Palais du Trocadéro à Paris.
C’est là où l’Assemblée générale des Nations Unies adopte en 1948 la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Patrick Cishibanji