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La recrudescence de l’insécurité au centre d’une revue  de presse participative. Des gouvernants et gouvernés discutent sur la question à Walungu centre.

La multiplicité des cas d’insécurité dans différents coins du territoire préoccupent au plus haut point les acteurs de la société civile, toute tendance confondue.

Ceci ressort de la revue de presse participative,  que le journal Le Souverain Libre a organisé le samedi 6 février à Walungu Centre.

Les acteurs de la société civile demande, aux autorités et aux forces de l’ordre, de redoubler d’efforts avant que la situation ne dégénère et ne s’empire.

Ils citent plusieurs cas d’insécurité et de justice populaire enregistrés  dans plusieurs localités. Les gens sont tués et les biens emportés.

Selon eux, les enquêtes ouvertes ou dites  amorcées n’aboutissent jamais et ne donnent aucun résultat.

L’administrateur du territoire adjoint, Prince Bakenga, fait observer que l’insécurité ne peut pas être jugulée même si un policier est placé derrière chaque habitant.

L’administrateur Bakenga demande à la société civile de sensibiliser la population pour qu’elle s’approprie la question de l’insécurité.

Il martèle que les habitants doivent dénoncer les auteurs  des crimes et leurs complices.

D’après lui, ces derniers vivent dans les maisons de certains citoyens.

Les acteurs de la société civile demandent aux autorités  et émettent le vœu de ne plus voir les personnes arrêtées vite relâchées et les rencontrer dans les rues, confirme Gilbert Bahindwa, membre du club de lecture basé à Walungu centre qui indique également que le commandant de la police et celui des FARDC ont participé à cette revue de presse.

Pacifique Muliri

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