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Des militaires indisciplinés, un officier de surcroît, vient d’arrêter, de séquestrer et de torturer une demoiselle avec laquelle partageait un verre dans le nganda Vatican.

Le drame survient le lundi 23 septembre, il y a tout juste une semaine, à Nyabibwe dans le groupement de Mbinga Nord de la chefferie de Buhavu.

Le bourreau accuse sa victime de lui avoir volé son téléphone.
En matière de mariage trompe qui peut, disent les juristes.

La malheureuse dame est très souffrante.
Initiative pour la protection des droits de l’homme et la réinsertion sociale, IPDHOR, Action pour la défense et la promotion des droits humains, APDH, Youth program for development of Africa, YPDA, et Droit, environnement et citoyenneté, DEC – RDC, et la Plateforme des jeunes, POJ – RDC, viennent de signer et de publier, ce lundi 30 septembre, un communiqué de presse conjoint.

Ces organisations de la société civile dénoncent des actes de torture et de séquestration à Nyabibwe.

Elles écrivent condamner avec la plus grande fermeté ces actes de violence et d’abus de pouvoir, qui vont à l’encontre des lois de la RDC et des conventions internationales relatives aux droits de l’homme ratifiées par le pays.

D’après elles, un policier venait de faire subir, à un civil, des traitements inhumains et dégradants.

C’était un certain dimanche 4 août au poste de la Police nationale congolaise, PNC Lushebere dans le groupement de Mbinga Sud.

La victime aurait connu une hémorragie interne et est morte.

L’auditorat militaire devrait descendre et mener des enquêtes dans la chefferie de Buhavu.

Un câble de Valet Chebujongo.

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