135 champs, dont 76 dans le sous-village de Lurhole et 59 dans le sous-village d’Itara, demeurent inondés.
Ces inondations sont dues à des quantités de terre entraînées dans la rivière Ruzizi, qui empêchent les eaux de couler naturellement et librement. .
Le comité des cultivateurs victimes de Cifunca affirme que les eaux qui stagnent dans leurs champs, les empêchent de labourer et détruisent les plantations.
Selon eux, Ils ne sauront vivre sans l’agriculture qui est le besoin primordial de survie.
La société civile de Mudusa confirme ces informations et alerte sur les catastrophes naturelles et sur les dégâts matériels enregistrés et éventuels.
Elle demande aux autorités d’user de leurs moyens possibles pour évacuer les masses de terre de la rivière Ruzizi.
Ces masses de terre renvoient des grosses quantités d’eau de la rivière dans les champs.
Les éboulements des terres de la colline rwandaise Nyamagana sur le sol congolais font qu’il n’y ait plus de frontière terrestre entre les deux pays.
Les villages Lurhole et Itara restent victimes des catastrophes naturelles.
Lamberte Wakenge