Les services de sécurité devaient contrôler davantage les mouvements migratoires et les malades mentaux
La situation sécuritaire volatile a des incidences indirectes
Les services de sécurité et de migration devraient renforcer l’afflux migratoire aux postes frontaliers ainsi des autres coins formels et informels sur le territoire congolais.
Des coins tels que des ports, aéroports et rivières.
L’identité des visiteurs et serveurs dans des hôtels, nganda et boîtes de nuit devrait être vérifiée scrupuleusement.
Ces recommandations ressortent de la déclaration du Comité de suivi des mécanismes de protection des défenseurs des droits humains, CMPDH
Les services de sécurité devaient contrôler davantage les mouvements migratoires et les malades mentaux, CMPDH, relative à la situation sécuritaire dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Il y aurait mille et un hommes des troupes et matériels militaires sur les autres rives de la Ruzizi et du lac Kivu.
PPI est le lead du CMPDH et la déclaration est signée par 12 associations.
La douzaine d’organisations recommandent par ailleurs, à travers leur déclaration, aux services de sécurité, de traquer toutes les personnes considérées comme malades mentaux ou fous en errance, à la cité ou dans les villages.
Ces malades psychiques doivent être acheminés dans des centres psychiatriques.
Selon Pascal Mupenda, des espions peuvent se faire passer pour des fous.
Dieudonné Malekera