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Plus de 150 personnes viennent de bénéficier des jugements supplétifs et des actes des naissances des enfants non encore enregistrés à l’état civil.

C’est au cours d’une cérémonie tenue, hier mardi 6 septembre, de 14 à 16 heures, dans la salle du ressort de Bunyakiri.

La cérémonie a réuni principalement les parents de ces enfants et des agents de l’état civil.

D’après Maître Caistère Nzabangele, avocat au barreau du Sud-Kivu et consultant à la Fondation Panzi, plusieurs enfants de Bunyakiri n’étaient pas enregistrés à l’état civil dans le délai légal.

Des séances de sensibilisation ont été effectuées auprès des personnes qui se trouvaient dans ces situations. Plusieurs plaidoyers ont été menés aussi. 

Après la remise des pièces, Maître Caistère Nzabangele a recommandé à l’assistance d’amener les nouveau-nés à l’état civil, pour l’enregistrement afin de ne pas subir la rigueur de la loi.

C’est la Fondation Panzi, avec l’appui financier de la Croix Rouge luxembourgeoise, qui a organisé cette cérémonie de remise des pièces.

Il s’agit notamment des jugements supplétifs et des actes de naissance.

Christian Kika

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