Le journal indépendant Le Souverain Libre vient de sortir des presses son numéro 280 qui est en vente dans la ville de Bukavu…
Le Souverain titre en manchette : « L’emprise du numérique et le devoir de la vraie information ».
C’est pour dire que le support change mais le devoir de membres de l’Union nationale de la presse du Congo, UNPC Sud-Kivu, reste de donner la vraie information.
Et ce, selon le code éthique, la déontologie de la profession, et les principes du journalisme noble.
Le gouvernement du Sud-Kivu reproche parfois aux médias de diffuser ou de laisser passer des propos désobligeants envers l’autorité provinciale.
Il menace de fermer les médias non en règle.
Dans ses pages intérieures, Le Souverain Libre revient sur les violences sexuelles et basées qui font partie de sa ligne éditoriale.
Dans le groupement de Kalonge en territoire de Kalehe, l’épouse travaille comme un forçat pour nourrir seule le mari et les enfants.
Les hommes passent la journée à se la couler douce dans les buvettes.
Là bas, des policiers violent des fillettes et restent des agents de l’ordre.
Rédaction
Ces agents de l’ordre indisciplinés sont mutés souvent dans les villages environnants et continuent à servir sous le drapeau.
D’autres titres aussi intéressants sont développés le numéro 280 du journal Le Souverain Libre.
C’est entre autres l’extraction des pierres qui écroule le lycée Nyakavogo, des femmes qui avortent clandestinement et meurent d’ignorance.
L’exemplaire du Souverain Libre coûte 2 mille francs congolais
Rédaction
