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Les journalistes n’ont pas à confondre avec la vitesse et la précipitation, le sensationnelle et le charlatanisme. La Nouvelle dynamique de la société civile, Ndsci tire la sonnette d’alarme.

La province du Sud-Kivu et la ville de Bukavu restent dans l’ambiance de la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse.

C’était le mardi, 3 mai dans la salle Aquarius à La Botte, avec focus sur le journaliste sous l’emprise du numérique qui permet de donner l’information en temps réel et à travers le monde entier.

Le président national de la Nouvelle dynamique de la société civile, Ndsci, Jean Chrysostome Kijana, prévient  aux journalistes de ne pas confondre vitesse et précipitation, sensationnelle et charlatanisme.

Il leur rappelle éthique et déontologie professionnelle ainsi que la noblesse du métier.

D’après l’UNPC Sud-Kivu, la province compte plus de 800 journalistes professionnels qui ont les cartes de la corporation.

Gertrude Shabani

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