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Les gardes du Parc national de Kahuzi Biega, PNKB, et les militaires des Forces armées de la République démocratique du Congo, FARDC, n’ont pas commis des crimes contre les populations autochtones pygmées vivant dans cette aire protégée.

Le PNKB vient de tenir une conférence de presse pour démentir ces propos de Minority rights group, une organisation britannique de défense des droits humains.

C’est  ce lundi 11 avril sur l’esplanade de l’Hôtel Horizon, situé sur l’avenue Lumumba dans la commune d’Ibanda à Bukavu.

Selon le rapport du Minority rights group publié le mercredi 6 avril dernier, des attaques minutieusement préméditées ont visé des populations civiles.

Et ce, alors que, depuis 2018, un conflit violent oppose les Pygmées Batwa aux gardes du PNKB, malgré des initiatives de médiation.

Le PNKB vient de balayer avec un revers de la main ces affirmations prétendues recueillies sur le terrain.

Le chargé de communication, Hubert Mulongoy, affirme que l’Institut congolais pour la conservation de la nature, ICCN, continue à prôner la paix et le calme dans le PNKB.

Plusieurs faveurs sont accordées aux peuples autochtones Pygmées Batwa.

C’est entre autres la scolarisation et le travail.

Hubert Mulongoy martèle que des procédures juridiques vont être menées afin que l’auteur dudit rapport,  Minority rights group, réponde de ses actes. 

Georges Kitoka

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