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L’Association des femmes des médias, Afem, affirme être satisfaite, voire réconfortée tant soit peu, de la condamnation de la journaliste Charline Kitoko Safi. Cette illustre disparue était journaliste à la radio Vision Shala/sous station de Kamituga.

C’est au cours d’un point de presse, tenu ce jeudi 17 février, au siège de l’AFEM, sur l’avenue Kibombo dans la commune d’Ibanda.

Cette condamnation à 10 ans de prison ferme  a été prononcée lors des audiences en chambre foraine qui se sont déroulées du lundi 8 au vendredi 11 février 2022 dans la tribune de la Mairie de Kamituga.

Le verdict a été prononcé le mardi 15 février.

La présidente du conseil d’administration de Afem, Caddy Adzuba affirme que le meurtre de Charline Kitoko Safi est un acte de grave cruauté et de méchanceté de la part de son mari.

C’est aussi une violation flagrante des prescrits de l’article 16 de la constitution qui dispose : « La personne humaine est sacrée »

 Selon elle, la condamnation de son bourreau lance un signal fort à l’égard des auteurs de toute forme de violence à l’égard des femmes et des jeunes filles.

Afem a profité de cette occasion pour remercier  ses partenaires techniques et financiers pour s’être mobilisés pour la tenue effective de ces audiences foraines.

Georges Kitoka

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