Les habitants viennent effectivement de dénoncer l’existence d’un camp et d’un cachot parallèles dans le camp minier de Luhihi, un site d’exploitation artisanale de l’or
Ce n’est pas plus tard qu’hier mercredi 9 février 2022, au cours d’une réunion tenue à Luhihi. Le chef de centre, le chef du camp Kajabwe et encore moins la police des mines n’ont pas le droit de fouler leurs pieds et nez dans ce camp et cachot parallèles du carré minier de Luhihi.
C’est le président territorial de la société civile de Kabare, Emmanuel Bengehya, ahuri, qui l’atteste.
La réunion d’hier mercredi a débattu aussi d’autres problèmes prévalant dans le groupement de Luhihi.
Notamment des enlèvements, violences sexuelles, vols, insuffisance des éléments de la Police nationale congolaise, Pnc, et justice populaire.
Gertrude Shabani