0 2 minutes 2 ans

L’organisation non gouvernementale Journaliste en Danger, JED, vient de publier son rapport intitulé « Mauvais temps pour la presse en RDC.

C’est en marge de la journée internationale de lutte contre l’impunité des crimes commis contre les journalistes, célébrée, ce mardi 2 novembre, à travers le monde.

JED  parle d’au moins 110 cas d’attaques diverses contre les journalistes et les médias enregistrés en 2021. 

Trois ans après son accession au pouvoir et en dépit de ses nombreuses promesses faites à la presse, le nouveau pouvoir n’a toujours pas su lancer des signaux forts en faveur de la liberté de la presse.

A ce jour, aucune action de grande envergure n’a été prise ni sur le plan politique, ni sur le plan judiciaire, ni sur le plan sécuritaire en faveur de l’exercice du métier de journaliste», écrit JED dans un communiqué de presse.

Selon JED, « plus de la moitié des cas d’atteintes à la liberté de la presse, soit 51%, touchent à la sécurité physique des journalistes, et sont constituées des menaces qui précèdent parfois les assassinats, des agressions physiques et des journalistes contraints à vivre dans la clandestinité, loin de leurs maisons et de leurs familles pour échapper à la mort, suite à des menaces des miliciens ou des militants politiques ». 

Pacifique Muliri 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *