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Une personne meurt toutes les 30 secondes d’hépatite. Les inflammations du foie peuvent entraîner les maladies des reins.  Quelques hôpitaux de Bukavu offrent des séances de dialyse.

Le monde a célébré, hier mercredi 28 juillet, la journée contre l’hépatite sous le thème « L’hépatite ne peut plus attendre ».

Comme chaque année à pareille date, c’est l’occasion de faire mieux connaître l’hépatite virale.

Il faut agir d’urgence pour éliminer l’hépatite en tant que menace pour la santé publique d’ici à 2030.

Une personne meurt toutes les 30 secondes d’une hépatite virale. Et seulement un malade sur 100 se fait soigner dans le monde.

La crise actuelle liée à la Covid 19 vient aggrave la situation.

A Bukavu, des sources médicales soulignent qu’une inflammation du foie peut entraîner plusieurs maladies graves dont celles des reins.

Quelques institutions sanitaires de Bukavu pratiquent des séances de dialyse.

Ces traitements médicaux aident le foie malade à continuer à filtrer et à épurer le sang dans le corps humain.

Il s’agit entre autres de l’hôpital provincial de Bukavu, de l’hôpital général de Panzi et centre hospitalier Biopharm.

Les honoraires ou prix d’une séance de dialyse oscillent entre 100 et 120 dollars.

Les hépatiques de Bukavu se rendaient, il n’y a pas longtemps, à l’étranger pour des séances de dialyse.

L’Organisation mondiale de la santé organise tous les 28 juillet.

C’est la date de l’anniversaire de Baruch Samuel Blumberg qui identifia le virus de l’hépatite B.

Pacifique Muliri

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