L’eau potable manque et celle de la pluie ne tombe pas depuis plus de trois semaines à la prison centrale de Kalehe et ses environs.
C’est surtout à Ihusi et Munanira dans le groupement de Mbinga Nord. Les habitants de ces localités sont obligés de recourir à l’eau du lac Kivu.
L’administrateur adjoint du territoire de Kalehe promet de vérifier l’état des bornes fontaines. Selon lui, plusieurs partenaires du gouvernement congolais sont déjà contactés.
Et ce, pour intervenir éventuellement et pallier cette situation de manque d’eau potable.
En 2020, plusieurs organisations ont veillé à garantir l’accès aux services d’accès à l’eau potable, à l’hygiène et l’assainissement de qualité et en quantité.
Par ailleurs, celui-ci n’est pas réalisé, d’après une opinion, de manière sûre, inclusive, digne et adaptée pour contribuer à la réduction des risques de transmission des maladies infectieuses d’origine hydrique et vectorielle au sein des populations affectées par les conflits, les épidémies, les crises nutritionnelles et les effets des catastrophes naturelles.
L’Etat devait porter une attention particulière au respect des engagements minimaux de protection transversale, dont la mise en place de mesures préventives des VBG, et à la protection de l’environnement.
Des synergies multisectorielles doivent être envisagées et mises en œuvre à en croire Vallet Chebujongo, membre du club de lecture du journal Le Souverain Libre, basé à Ihusi.
· Claudine Lumvi