Kinshasa: Marcel Malanga et Jean-Jacques Wondo espèrent voir la cour militaire annuler leur peine de mort

Une vue de la salle d'audience du tribunal militaire ce 29/04/2011 à Kinshasa, dont au fond les juges du seant et en avant plan, les prévenus lors du procès des presumés insurgés Eniele. Ph John Bompengo/ Radio Okapi
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La cour militaire de Kinshasa Gombe vient d’ouvrir le procès en appel sur la tentative de coup d’Etat en RDC, près d’un mois après le jugement intervenu au premier degré, hier jeudi 10 octobre en audience foraine à la prison militaire de Kinshasa Ndolo.

Au cours de cette première audience, la juridiction a procédé à l’identification des différents prévenus que le tribunal de garnison de Kinshasa Gombe. Les prévenus en appel espèrent obtenir l’annulation ou la réduction des peines prononcées au premier degré.

Le tribunal de garnison de Kinshasa Gombe avait condamné 37 personnes à la peine de mort pour les infractions d’association des malfaiteurs, d’attentat et de terrorisme. Il s’agit entre autres de Marcel Malanga, le fils de Christian Malanga et de l’expert militaire Jean-Jacques Wondo.

Une dizaine de prévenus, 13 au total, avaient été acquittés, pour manque des preuves les infractions mises à leur charge. C’est principalement les prévenus dits de l’hôtel Momo. Entre autres la propriétaire de l’établissement, Mata Maguy, et son mari Ephraïm, ainsi que leurs employés Judith Muleka et Adolphe Mbayo.

La prochaine audience est fixée au vendredi 18 octobre.

Lamberte Wakenge

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