L’association des femmes des médias en collaboration avec 50 moniteurs et monitrices membres des noyaux clubs d’écoute de la Ville de Bukavu,walungu(nyangezi), kalehe (minova), Sange et luvungi en territoire d’uvira a documenté 606 cas des violations des droits humains.
C’est pour une période allant de juillet 2021 en avril 2024.
Dans un point de presse animée par AFEM ce vendredi 19 avril 2024, la chargée des programmes à AFEM,Nelly Adidja indique que sont des accusations sorcières a l’égard des femmes,de cas des violences sexuelles, domestiques,des cas de vols et pillage des biens des paisibles citoyens,des enlèvements et tueries.
Elle indique que la période allant de novembre 2023 en avril 2024 soit 6 mois,169 cas des violations des droits humains ont été répertoriés dans les zones couverte par les projets d’AFEM.
Au delà de ces violations, d’autres cas ont été enregistrés.
L’association des femmes des médias appelle les gouvernement congolais à respecter les lois du pays dont l’article 14 de la constitution qui relève la parité et le respect des droits humains.
AFEM demande aux autorités politico administratives et judiciaires, Les forces de sécurité, aux autorités coutumières,les ONGs et médias , la société civile et l’assemblée provinciale , à chacun de prendre les mesure dans leurs secteurs respectifs pour barrer la route à ces fléaux qui gangrène la société avec les conséquences graves.
« Nous sommes appelés à Lutter contre les violations des droits humains car aucune société ne peut émerger dans les abus » a martelé Nelly Adidja.
Ce projet qu’exécute l’association des Femmes des médias AFEM est financé par l’ ONG Allemande GIZ.
- Patrick Cishibanji