Il s’observe l’installation de quelques affiches et calicots des candidats conseillers communaux, de manière timide, par des sympathisants des partis et regroupements politiques.
Ils attendent d’avoir des moyens financiers de la part de leurs partis et ou regroupements politiques afin d’envahir les places publiques et autres grands espaces.
Certains interrogés par la radio Web sauti ya mashariki du journal le souverain libre ce jeudi 7 décembre estiment être confondus à des candidats députés provinciaux ou nationaux.
Pendant les séances de sensibilisation et campagnes électorales, les électeurs les appellent des honorables députés avec une exigence de leurs demander de l’argent.
D’autres conseillers communaux parlent d’un manque de sensibilisation de la part des organisations qui œuvrent dans les thématiques élections mais également de la commission électorale nationale indépendante CENI en sigle.
Pour Moïse Ruhamya, candidat conseiller dans la commune de Bagira numéro 325 sur la liste du parti politique union pour démocratie et le progrès social Udps /Tshisekedi, il temps de sensibiliser les habitants sur le rôle d’un conseiller communal afin que cette confusion soit levée.
Et de poursuivre que chemin de batail dans en termes de projet de société c’est la lutte contre les boissons fortement alcoolisées que prennent les jeunes à longueur de la journée.
Mais également plaider pour le désenclavement de la partie Kasha.
Le rôle du conseiller communal est de siéger au conseil communal pour une période de cinq ans. Il participe à l’élection des conseillers urbains et du bourgmestre. De plus, il délibère sur une multitude de questions d’intérêt communal comme l’hygiène, l’éclairage, l’entretien des routes et l’autorisation de circulation.
La campagne électorale pour l’élection des conseillers communaux en République démocratique du Congo a débuté le 4 décembre, une première pour ce pays, l’élection se tiendra le 20 décembre.
Patrick Cishibanji