Kaziba: Visite scientifique de la forêt naturelle Lwampango pour se rendre compte de l’exploitation non contrôlée des ressources naturelles et ses menaces.

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Les facteurs biologiques, climatiques et pédologiques doivent constituer une priorité pour la communauté afin de bien gérer l’environnement.

Les membres fondateurs du Club d’Environnement de kaziba viennent d’effectuer une visite scientifique à la forêt naturelle Lwampango le mardi 1er août 2023.

La biodiversité, l’écosystème et  le conflit sur le droit de l’environnement viennent d’être abordés et une étude de faisabilité.

Les étudiants de l’Institut Supérieur Pédagogique l’ISP kaziba, de l’Institut Supérieur de Développement Rural ISDR Kaziba, de l’Institut Supérieur des techniques Médicales   ISTM kaziba et ceux de l’Université de Kaziba Unikaz tous membres du Club d’Environnement ont suivi une séance sur la présence du domaine de géographie et gestion de l’environnement.

Et ce, sur les facteurs biologiques (faune et flore), climatiques, pédologiques.

Pour Maître Pierre Chanel, enseignant à l’université de kaziba et du domaine de droit de l’environnement, pour lui, la protection de l’environnement est garantie par la constitution de la RDC, d’où les principes de participation commune, principe de gestion et de protection de l’environnement sont à mettre en exergue.

 Les facteurs juridiques doivent être strictement appliqués par l’État congolais pour la protection de l’environnement.

La constitution garantit aussi la protection de l’environnement et même certaines institutions comme l’Institut Congolais pour la Conservation de la Nature l’ICCN en sigle dit-il.

Laurent Kachima, membre de cette structure et président du Comité local de développement de kaziba fait savoir que le transfert des compétences et le partage de l’expérience pour le bien de l’environnement doit constituer une priorité mais également la lutte contre le feu de brousse et la conservation des pâturages.

Notre source renseigne que la forêt de Lwampango présente les avantages notamment, un site coutumier appelé Mahero servant pour le renforcement la cohésion sociale, la présence des sources d’eaux potables qui alimente les ruisseaux et un site touristique.

Deograce Chombo

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