Des garçonnets et fillettes terminent l’examen de fin d’études primaires. Ils abandonnent les culottes et enfilent les pantalons pout l’enseignement général et les humanités
La passation des épreuves de l’examen national de fin d’études primaires a commencé jeudi 1er et vient de s’achever ce vendredi 2 juin dans la province éducationnelle du Sud-Kivu 1.
Aujourd’hui vendredi, c’était le tour des épreuves des sciences et mathématiques.
Hier jeudi, il y avait le français et la culture générale.
Dans la ville de Bukavu, plusieurs élèves se réjouissent d’avoir pris part à ces épreuves qui sanctionnent la fin de leur cycle primaire.
Ils espèrent monter dans les 7ème et 8ème années de l’enseignement général, avant d’arriver aux humanités.
Certains élèves du complexe scolaire le progrès, de l’école primaire sainte jeanne de l’estomac, et ceux du complexe scolaire espoir 1 affirment que les épreuves de l’ENAFEP se sont déroulées sans incident.
D’après Christian Lubala de l’EP sainte jeanne de l’estomac, les examens étaient très faciles.
Les papiers de brouillon n’étaient pas nécessaires pour travailler.
Pour d’autres finalistes du primaire, les épreuves n’étaient ni faciles ni difficiles.
La plupart des questions leur ramenaient à ce qu’ils avaient vus et étudié en classe.
Le premier jour on a passé la culture et le francais, ce n’était pas ni facile ni difficile. Le deuxième jour nous avons faits le calcul et la science. On a ramené de la géométrie, de l’opération etc. s’exprime Ismaël de sainte jeanne de l’estomac.
Les examens n’étaient pas vraiment difficile, aujourd’hui, il y’a deux questions qui nous ont semblées compliquée mais on croit qu’on va réussir. S’exprime Ciza Zihindula avec un petit sourire
La province éducationnelle Sud-Kivu 1 a aligné 92 mille 297 candidats à cette édition 2023 de l’ENAFEP.
Il s’agit de 46 mille 264 filles et de 45 mille 904 garçons.
Il y a plus des filles que des garçons.
La province éducationnelle du Sud-Kivu 1 couvre la ville de Bukavu, ainsi que les territoires d’Idjwi, Kalehe, Kabare et Walungu.
Ornella Kavungirwa
