Possible que la construction des bâtiments modernes à Ruzizi 2, vienne lui donner le coup de pouce décisif
Un gros engin de l’entreprise de génie civil, Trambeco, est visible sur le chantier de la route, rond-point Major Vangu – poste frontalier Ruzizi 2.
Il est immobilisé, essoufflé, sans ronronnements des moteurs, quelque part au-dessus de l’abattoir public de Ruzizi 2.
La construction du mur de soutènement amorcée sur la pente qui abrite le complexe scolaire LA SAPINIERE, reste inachevée depuis un temps assez long.
Le chantier de la construction des canalisations des eaux est arrêté.
Rien ne présage la reprise si pas la finition de l’asphaltage de la route.
Les véhicules et les piétons passent péniblement sur le tronçon routier Elakat – Gyamba.
A vue d’œil, au moins 500 mètres restent à réhabiliter pour atteindre enfin et finalement le poste frontalier Ruzizi 2.
Possible que la construction des bâtiments modernes à Ruzizi 2, vienne donner l’énième coup de pouce au chantier routier partant du rond-point Major Vangu.
Ce chantier âgé de 7 ans reste incapable de réhabiliter une route longue de 2 mille 700 mètres, un peu moins ou 3 kilomètres.
Il a été lancé, ouvert, en 2016.
Patrick Cishibanji