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Recrudescence de l’insécurité sous le nom de code – opération machette – sur  plusieurs avenues de Nguba.

Une fille d’Irhambo Luziba vient de quitter un centre hospitalier, après quelques heures d’internement.

Elle a été blessée grièvement au front pendant le week-end.

Des inconnus surgis de l’obscurité lui ont arraché téléphone et sac à main, un soir.

Une dame de Hewa Bora Cimetière dit que des bandits, jeunes et armés d’armes blanches, lui ont arraché sa recette du marché de Nyawera, il y a une dizaine de jours, un soir et sous la pluie. 

Le président de la société civile du quartier Nyalukemba,  a indexé  certains  jeunes qui insécurisent la population.

La plupart viennent de quitter la prison centrale de Bukavu, des repris de justice, et d’autres des chômeurs, des désœuvrés, des paresseux.

D’après lui, ces bandits, présumés et potentiels, passent leurs journées à Nguba, dans des maisons de tolérance, en train de fumer du chanvre et des cigarettes de tout genre.

Et ce,  en compagnie des jeunes filles légères et des mœurs douteuses.

 Obedi Manvu demande l’implantation des autorités à tous les niveaux pour démanteler les maisons de tolérance dites cachots et les fumoirs de chanvre.

Il regrette de voir la justice relâcher vite les malfrats sans tenir compte de ceux qui les dénoncent et la population victime.

Ornella Kavungirwa

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