Les bandits opèrent dans ou autour de quelques chantiers de construction, boutiques ou kiosques, nganda, et restaurants. Il ne se passe plus d’une nuit sans qu’on parle de l’insécurité dans le quartier Ndendere.
Avoir des étrangers n’est pas une mauvaise chose. Mais cela devient insécurisant et dangereux, lorsque certains étrangers se permettent de résider sans documents migratoires ou pièces d’identité.
Le chef du quartier Ndendere, Albert Migabo, vient de le clamer haut et de le marteler fort.
C’est le lundi 21 novembre, avant-hier, au cours d’une réunion d’évaluation de la campagne d’identification des habitants du quartier Ndendere, lancée en novembre 2021, depuis une année.
D’après le chef Albert Migabo, la campagne est d’en train des endroits de son quartier où il y a beaucoup d’insécurité.
Ces zones rouges fonctionnent notamment dans ou autour de quelques chantiers de construction, boutiques ou kiosques, nganda, et restaurants.
Et ce, surtout sur les avenues de, Saio, Athénée, Kibombo et autres.
Rachel Fadhili