Kabare : les agriculteurs cessent de travailler en ordre dispersé et se retrouvent dans une synergie
L’Institut international d’agriculture tropicale, IITA, vient d’organiser un énième atelier pour créer et renforcer les groupes interprofessionnels des chaînes des valeurs manioc, agroforesterie et culture bio fortifiée, dans le cadre du Projet intégré de croissance agricole dans les Grands lacs, Picagel.
C’était hier mercredi 9 novembre, au centre commercial de Kavumu dans le territoire de Kabare.
D’après le modérateur du jour, Sébastien Lubala de l’IITA, la rencontre porte sur une plus large sensibilisation et une plus forte mobilisation des partenaires, surtout ceux qui œuvrent dans le territoire de Kabare.
Et ce, pour qu’ils travaillent en consortium pour maximiser les chances de réussir.
Sébastien Lubala a insisté sur la communication et les échanges pour être plus compétitifs, plus solidaires et gagner ensemble.
Les agriculteurs de Kabare ont reconnu, dans leur adresse, avoir fonctionné longtemps en ordre dispersé.
Selon eux, ils commencent à évoluer ensemble, grâce à l’encadrement de l’IITA et de Picagel.
La soixantaine des participants ont promis s’approprier les enseignements du jour pour booster les activités agricoles des générations présentes et futures.
Gertrude Shabani
