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30 personnes sont incarcérées dans un local de moins de 4 mètres carrés. Certains détenus meurent suite au manque des soins, et d’autres de faim.

La garde exige mille francs aux visiteurs qui amènent la nourriture, à leurs membres de famille ou connaissances.

Quelques prisonniers passent plus de 5 jours dans cet enfer, sans être transférés aux instances judiciaires, ou relaxés.  La société civile de la chefferie de Buhavu dénonce ces faits contraires à la loi, auprès des autorités.

Elle les demande d’intervenir dans l’urgence.  D’après cette structure citoyenne, les officiers de police judiciaires se comportent en hors la loi, et mettent des vies humaines en danger.

Georges Ulysse Kitoka

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