C’est dans 7 zones de santé de la ville de Bukavu.
Des ateliers de sensibilisation et des séances de thérapies seront organisés bientôt pour la prise en charge des victimes des violences basées sur le genre et pourquoi pas quelques autres traumatisés sociaux.
L’association Dignité humaine vient d’échanger son nouveau projet, qui met un accent particulier sur le mental et le psychique.
C’est dans un atelier avec les leaders communautaires, tenu ce vendredi 17 juin, à l’hôtel Exodus, sur l’avenue Lumumba, non loin de la Place Mulamba, dans la commune d’Ibanda.
Le projet de Dignité humanité tient à apporter des solutions aux problèmes qui détériorent les communautés.
La coordinatrice de cette association, Elodie Ntamuzinda, explique que ce projet va collaborer davantage avec les communautés. C’est une particularité par rapport à d’autres projets d’antan sur les VGB, les violences basées sur le genre.
Lors de leurs échanges, le médecin coordinateur provincial du Programme national de la santé de la reproduction, le docteur Robert Nyamugaraza, a conseillé aux leaders communautaires et dames de dénoncer les cas de violences basées sur le genre.
Et ce, surtout les cas de la violence par partenaire intime, VPI, qui deviennent très courants. La communauté va commencer à se référer tous les cas de VBG auprès des institutions, ou des services habilités à les traiter.
La coopération allemande, GTZ santé, appuie ce nouveau projet de Dignité humaine. Lequel projet couvre 7 zones de santé dans la ville de Bukavu, en raison 2 aires de santé dans chaque zone.
Ornella Kavungirwa