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Le journal indépendant Le souverain libre vient de sortir de presse son édition 277 de mars 2022. Ce tabloïd met l’accent sur les violences basées sur le genre, le dialogue initié par le Gouverneur Théo Ngwabije. Les dessous de carte de la réhabilitation de Bilubi Ulengabo Meschak et le portrait de Lucienne Posho

L’éditorialiste titre « cœur et volonté ».

A la une, Le Souverain titre «  Sud-Kivu, les violences basées sur le genre deviennent courantes et les plaidoyers très longs ».

Un nouveau-né essore sa maigre mère prisonnière. Des dames s’inclinent sur le mausolée de leurs congénères tuées sous le règne d’une rébellion. Des vendeuses ne sentent pas concernées par la journée internationale des droits des femmes qui aurait perdu tout son sens. Des réfugiés demandent le rapatriement. Mars ne semble pas à la fête. Les violences basées sur le genre deviennent courantes et les plaidoyers très long.

A la page 5, le souverain Libre revient sur le dialogue en province et titre « Bukavu : le dialogue de Ngwabidje semble traîner dans le tunnel »

L’autorité provinciale veut consulter toutes les couches de la population en vue de recadrer son action et sa vision politique. L’opinion est très divisée quant à ce.

Dans la rubrique gouvernance, ce journal parle des dessous des cartes de la réhabilitation du maire Meschak bilubi.

Le gouverneur du Sud-Kivu lève la suspension préventive du maire de Bukavu après plus d’une année. Le patron de l’hôtel de ville est accueilli en héros de martyr. Selon des sources concordantes, le maire aurait été suspendu sur demande de Modeste Bahati Lukwebo. Celui-ci avait alors des démêlées politiques avec Nehemie Mwilanya, ancien coordonnateur du Front Commun pour le Congo, qui était le parrain de Bilubi.

Honneur à la femme, le souverain libre exhibe le portrait de Lucienne Posho, présidente sportive et directrice journaliste.

Ce tout nouveau numéro est disponible dans les différents points de vente. Une somme de 2000 francs congolais suffit pour se procurer le journal.

Christian Kika

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