Sud-Kivu : un crime de masse pour un avortement hypothétique à Idjwi

ads

Vers 2 heures du matin de ce vendredi 5 novembre, le jeune garçon  finit par rendre l’âme, par  succomber des ses blessures. Son acte de décès serait d’avoir demandé à une fille portée disparue d’avorter.

Des balles réelles crépitent à la prison du commissariat de la Police nationale congolaise, pnc, à Rambo, dans la soirée d’hier jeudi 4 novembre.

Une foule si pas une famille en furie vient du village Buhumba, pour retirer le jeune homme, de cette prison.

Elle réussit à l’extraire,  l’amener à un kilomètre du pénitencier, le tabasser jusqu’ à ce que la mort allait s’ensuivre.

Qu’est ce qui s’est passé au juste ?

Une fille de Buhumba venait de disparaître depuis le lundi 1er  novembre.

La  famille affirme que le garçon aurait proposé à la disparue d’aller se faire avorter dans le dispensaire d’un parent du jeune homme à Kashara.

Il a eu complication et la fille est morte et l’on le cache.

Le garçon, de son côté, niait n’avoir pas vu la fille le dimanche 31  octobre, et n’être pas en contact avec elle depuis un certain temps.

 

Georges Kitoka

ads

Leave a Comment

Your email address will not be published.

ads

You may like

ads
In the news
ads