Des chefs de groupement et des quartiers, des pasteurs et des policiers dialoguent. C’est pour protéger les enfants et mettre fin au phénomène Mujakazi.
Ce dialogue entre responsables a eu lieu, hier dimanche 4 juillet, dans la grande salle de la paroisse de Kalole.
Selon les participants, les chambres des prières et le manque de foi ou de croyance font que les enfants soient indexés et accusés de sorcellerie.
Le chef du groupement a demandé aux chefs des quartiers de toujours faire rapport à la police sur les chambres des prières.
C’est pour protéger les enfants accusés de sorcellerie et mettre fin au phénomène Mujakazi.
Olivier Kwankanaba.
Claudine Lumvi