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C’était ce jeudi 25 février au Centre d’accueil protestant, CAP Nguba, dans un atelier organisé par l’Association congolaise des femmes journalistes de la presse écrire, ACOFEP.


Le facilitateur du jour, le professeur Arnold Nyaluma, voudrait concilier la parité constitutionnelle.


« 50 % pour les messieurs et 50 % pour les dames dans la gestion des instances de prise de décision », affirme, vaillamment, ce professionnel de la craie.


Pour la directrice du Centre d’appui à la promotion de la santé, CAPSA, Marie Migani, la femme congolaise ne devrait pas continuer à être sous-estimée. Elle a des compétences avérées.


L’ACOFEP a commencé, hier jeudi 24 février, par renforcer les capacités des femmes leaders de Bukavu pour mieux mener des plaidoyers et organiser des tribunes d’expression populaire.


Jessica Fataki

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