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L’adhésion de Katumbi et Bemba à l’union sacrée peut apporter un changement dans la classe politique congolaise. Une façon de penser d’une certaine opinion à Bukavu, car dit-on, « Aux grands maux, des grands remèdes ».

Cela peut constituer une thérapie aux problèmes que souffre la RDC. Si et seulement si tous ces politiciens adhérent à l’union sacrée, avec l’objectif d’améliorer le social du peuple Congolais. Le cas contraire devrait empirer la situation estime une opinion.

C’est d’ailleurs ce que pense Nicolas Kyalangalilwa. Il est un acteur de la société civile du Sud- Kivu. Il le dit après l’annonce de l’adhésion à l’Union sacrée de Jean Pierre Bemba Gombo et Moise Katumbi Chapwe.

Pour lui, même si le Congo éprouve d’énormes difficultés actuellement, l’union sacrée peut constituer un outil par lequel une nouvelle donne peut changer l’avenir politique de la République démocratique du Congo.

Cela peut être possible, grâce à la matérialisation de la vision du président de la République. Elle est d’amener le pays vers des horizons meilleurs.

Kyalangalilwa émet par contre un doute en ce qui concerne la promotion du social pendant les trois années de gouvernance qui reste à Felix Tchisekedi. Nicolas est confiant d’un avenir meilleur à travers l’union sacrée.

Cet acteur de la sociv appelle les opérateurs politiques à adhérer à l’union sacrée tout en mettant en avant l’intérêt du peuple congolais.

L’Union sacrée est le nom donné au mouvement de rapprochement politique qui a soudé les Français de toutes tendances (politiques ou religieuses) lors du déclenchement de la première guerre mondiale. Le terme fut utilisé pour la première fois à la chambre des députés, le 4 août 1914, par le président de la République, Raymond Poincarré, dans son message aux Assemblées. La RDC n’a-t-elle pas copié ce concept ?

·        Claudine Kitumaini

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