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Des centaines d’enseignants des écoles publiques, primaires et secondaires, viennent de marcher pacifiquement, hier mardi 15 octobre, à Kamanyola.

Et ce, depuis le lycée Kamanyola jusqu’au poste frontalier avec le Rwanda avant de chuter à l’antenne locale de la Direction nationale de contrôle et de paie des enseignants, DINACOPE, née des cendres du Service de contrôle et de paie des enseignants, l’ex SECOPE.

Les manifestants lisent et remettent un mémorandum au chef adjoint de la DINACOPE.

Selon eux, l’enseignant congolais mérite mieux que maltraitance et la marginalisation.

Ils exigent entre autres la majoration du salaire de l’enseignant avant la reprise totale des cours.

En leur nom, le président de l’intersyndicale des enseignants de Kamanyola, Jean Paul Balungwe, met en garde tous ceux qui menacent de près ou de loin les leaders syndicaux des enseignants, à l’occurrence Jacques Cirimwami.

Jacques Cirimwami est le président provincial de la synergie des syndicats des enseignants du Sud-Kivu.

La marche encadrée par la police, a connu la participation des enseignants des écoles publiques primaires et secondaires ainsi que des parents.

 

Djoes Wendo, depuis Kamanyola.

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