L’éditorialiste du tabloïd titre : Redevabilité et introspection.
Il chute ou conclut son billet par ces propos.
Nous citons.
La société civile et la prime des enseignants sont parties du Sud-Kivu.
La province n’est pas un champ d’essais main un tremplin d’éveil patriotique.
Les préoccupations du peuple devraient primer sur les diktats des autorités morales et les puissances ou argenteries des financiers.
Fin de citation.
La manchette titre, Sud-Kivu : Jean-Jacques Purusi mobilise des millions de dollars et bénéficie des francs des rétrocessions.
Le gouvernement provincial vient d’annoncer avoir mobilisé environ 2 millions de dollars américains en deux mois.
La remontada financière résulte des effets positifs de la suspension momentanée des activités minières et des coups de balais dans quelques régies financières.
L’exécutif et le législatif provinciaux sont payés.
Les rétrocessions du gouvernement central reviennent.
Des chèques sont remis publiquement aux chefs de quelques entités territoriales décentralisées.
Et ce, pour la réalisation des projets avec des indicateurs objectivement vérifiables, les fameux I O V, dans leurs ressorts respectifs.
La caricature de l’édition montre des administrateurs des territoires et des bourgmestres des communes avec des sourires aux lèvres.
Cependant une inquiétante météo s’annonce avec la nomination de l’équipe politique du gouverneur de la province.
L’UDPS conseille la politique et l’AFDC dirige la communication de Purusi.
L’UDPS affirme ne pas être servie suffisamment et rappelle avoir été colistière de l’AFDC dans l’élection du gouverneur.
L’UNC rappelle avoir le poids politique de 11 députés provinciaux sur les 48 de l’hémicycle de Nyamoma.
Les colonnes du Souverain Libre numéro 321 logent d’autres articles intéressants.
Les enseignants devraient apprendre que les cycliques frissons des rentrées scolaires ne parviennent pas à arrêter l’enseignement.
Nombreux peuvent ne pas savoir que Nelly Adidja Mwajuma de Mama Radio et de l’AFEM est journaliste de par son père John Willy Masumbuko.
Nostalgie et génétique.
Dieudonné Malekera