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Les activités socio-économiques sont paralysées, la journée de ce vendredi 5 juillet, à Kamanyola.

Les jeunes de cette cité dénoncent la présence de plusieurs étrangers et exigent la démission de Joséphine Mugoto, la présidente locale de la société civile forces vives.

La révolte commence la nuit d’hier jeudi 4 juillet.

Un policier de garde tire à bout sur une personne portant vers 0 heure ou minuit dans le camp de la police.

Des jeunes érigent, le matin, des barricades sur la route nationale numéro 5 allant ou revenant de la ville d’Uvira, depuis l’entrée jusqu’ à la sortie de la cité.

Ces jeunes dits Wazalendo et Balala rondo ne jurent que par le départ de la présidente locale de la société civile.

Joséphine Mugoto regrette que son audio sur téléphone qui date dau moins une année, ait été mal interprété.

Le conseil de sécurité élargi se réunit avec les organisateurs de la manifestation et les leaders locaux pour trouver une solution apaisée.
C’est au niveau du bureau administratif du groupement de Kamanyola.

Un câble de Djoes Wendo, depuis la cité de Kamanyola.
Il est correspondant du journal Le Souverain Libre.

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