Sud-Kivu : Le gouverneur Jean Jacques Purusi devrait prioriser la routes urbaines de Bukavu

Plusieurs routes secondaires sont en état de délabrement très avancé dans plusieurs quartiers de la ville de Bukavu.

Une situation qui expose les passants à plusieurs dangers dont les accidents de circulation devenus récurrents sur ces tronçons ainsi que des embouteillages qui perturbent les activités de plusieurs habitants de Bukavu.

Des véhicules et motos ont du mal à circuler suite à la présence des nids des poules et flaques d’eau sur plusieurs tronçons.

Dans la commune d’Ibanda sur l’avenue Ulindi jusqu’au feu rouge en passant par l’avenue Saio.

 Rond-point avenue des ouvriers vers l’avenue industrielle.

 Marché Nguba-frontière Ruzizi 1 en passant par les avenues du Plateau et du lac.

 Marché Nyawera-Irambo en passant par Mukukwe,

 Paroisse de Cahi en passant par l’école primaire ACOBI.

Dans la commune de Kadutu à partir de la place de l’indépendance-marché de Kadutu en passant par le centre de distribution de la Bralima sur avenue Industrielle.

La route place de l’indépendance-Cimpunda-Ciriri à Busoka en passant par le marché dit « ba chômeurs ».

En commune de Bagira, le tronçon place de l’indépendance-Ciriri-Mulwa en passant par le Lycée Wima.

Bralima-Kasha.

Maison communale-cimetière de Musigiko en passant par les quartiers Lumumba et Nyakavogo.

Les acteurs de la société civile de Bukavu se préoccupent du délabrement de la voirie urbaine.

Ils dénoncent l’état critique des routes dans la ville de Bukavu, que ce soient des routes principales ou secondaires.

Certains d’entre eux viennent de s’exprimer ce vendredi  16 mai 2024.

Et regrettent des promesses non respectées  des autorités provinciales ayant ce secteur dans leurs attributions.

C’est le cas de l’office des voiries et drainage, l’office des routes, le ministère de transport et infrastructure.

Différents tronçons routiers sont énumérés.

Faisant face aux promesses non tenues, ces acteurs souhaitent voir le nouveau gouverneur récemment élu de  se pencher à ce problème.

Patrick Cishibanji

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