0 3 minutes 2 mois

Le tirage au sort a eu lieu le mardi 12 mars 2024 des quarts de finale de la Ligue des champions africaine.

Il a son siège au Caire en Egypte.

Mazembe de la RDC s’en sort mieux sur le papier en héritant du Petro Luanda d’Angola, qui était certainement l’un des premiers de groupes les plus abordables.

 De retour à ce niveau pour la première fois depuis 2020, les Corbeaux de Lubumbashi devront toutefois se méfier de leur voisin angolais, qui s’était hissé jusqu’en demi-finales en 2022 et qui fait plutôt figure de favori sur le papier dans ce derby.

Espérance Sportive de Tunis de la Tunisie faire face à L’ASEC Mimosas d’Abidjan de la côte d’ ivoire.

 De retour parmi le gratin du football africain et pleine d’ambitions, l’ASEC n’a pas été gâtée par le tirage et devra bousculer la hiérarchie face à des Sang et Or malgré tout favoris bien qu’ils aient terminé seulement 2es de leur groupe. Il s’agit d’une belle affiche entre deux cadors continentaux qui s’étaient notamment affrontés lors de la Supercoupe de la CAF en 1999 (victoire de l’ASEC 3-1).

Le club égyptien d’Al Ahly retrouve une “vieille” connaissance.

Club le plus titré dans l’histoire du tournoi et tenant du titre, Al Ahly retrouve quant à lui Simba. Pas forcément un cadeau puisqu’on se souvient que les Tanzaniens avaient donné beaucoup de fil à retordre aux Egyptiens lors de la Ligue africaine de football (AFL) en octobre, en se faisant éliminer seulement en vertu de la règle du but à l’extérieur. Mieux, Simba n’a perdu qu’un seul de ses cinq derniers matchs face au club cairote pour deux victoires et deux nuls !

Et puis, Mamelodi Sundowns de l’Afrique du Sud, vainqueur de la première édition de l’AFL, partira favori du dernier quart contre les Young Africans. Finalistes de la Coupe de la CAF la saison passée, les Tanzaniens ont soufflé le chaud et le froid en phase de groupes mais ont les moyens de poser des problèmes aux Sud-Africains.

Les matchs se disputent les 29 et 30 mars 2024 pour la manche aller et en retour les 5-6 avril prochain.

Patrick Cishibanji

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *