L’association pour la promotion de l’entrepreneuriat féminin, Apef, vient d’organiser, ce vendredi 6 octobre, un atelier d’échange avec les acteurs intervenants dans le relèvement socio-économique de la femme. Cette activité s’est fixée comme objectifs, créer un cadre d’échange d’expérience entre acteurs et identifier les défis rencontrés par les acteurs lors de leur accompagnement et définir les stratégies en mettre en place pour le contourner.
Une vingtaine des personnes, hommes et femmes viennent de se réunir dans la salle de réunion du restaurant Maman Kindja, située sur le quartier Nyalukemba dans la ville de Bukavu.
Elles sont issues des médias et des organisations qui interviennent dans le relèvement social et économique de la femme.
Pour Madame Furaha Muhemedi Merveille, la responsable pédagogique de l’Apef, cette activité va contribuer à renforcer la position des femmes en République démocratique du Congo, à travers l’appui à la reconstruction économique, sociale et politique du pays.
Selon elle, les objectifs sont entre autres un cadre d’échange et de partage d’expérience entre acteurs et identifier les défis rencontrés par les acteurs lors de leur accompagnement et définir les stratégies à mettre en place pour le contourner.
Cet atelier s’est déroulé à la grande satisfaction des participants.
Ils viennent de mettre en place, un cadre d’échange et de partage d’expérience et ont identifié les défis et les stratégies de sortie à l’issue des travaux en carrefour.
Furhaha Muhemedi, demande aux autorités provinciales de les accompagner dans la mise en œuvre des activités, parce que les organisations ont besoin d’accompagnement du gouvernement pour bien mener leurs activités.
Pour Rappel, Apef est une organisation qui accompagne les femmes et les filles dans leurs émancipations socio-économiques et politiques en vue de la promotion de leurs droits.
Elle appuie également les femmes et les jeunes filles désireuses de développer des activités génératrices des revenus, notamment en coupe et couture et en alphabétisation.
Christian Kika