Idjwi: La paresse et la non scolarisation favorisent  les grossesses et mariages précoces

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Les  sensibilisations sur la sexualité dans les écoles et  la création des activités génératrices des revenus  au sein de la communauté êrmettent de les éviter

L’abandon d’enfants, les morts infantiles, la déscolarisation, les violences conjugales et la surcharge familiale comptent parmi les conséquences des grossesses et des mariages précoces.

Le consortium Association des femmes des médias, AFEM, Karibu jeunesse nouvelle, KJM, FPM et  SOS IJM vient de les relever au cours d’une tribune d’expression populaire.

C’est hier lundi 12 juin à Bulindi dans la chefferie Ntambuka ou Idjwi Sud. 

Les participants notent que la pauvreté, l’oisiveté, la non scolarisation, les nouvelles technologies favorisent  les grossesses et les mariages précoces. 

Cette tribune d’expression  voudrait  amener   la communauté du village de Bulundi à relever les conséquences négatives des grossesses et mariages précoces sur les filles, leurs familles et la communauté en générale.  

La sensibilisation voudrait aussi amener   les participants et les autorités à proposer des alternatives.

Le dialogue en famille, les sensibilisations sur la sexualité dans les écoles, la création des activités génératrices des revenus au sein de la communauté figurent parmi les pistes de solution.

Plus de 150 participants ont pris part à cette tribune d’hier lundi 12 juin à Bulundi.

Il s’est agi de 57 femmes et 47 filles ainsi que 46 hommes et garçons.

Le centre carter exécute l’activité  dans le cadre du projet voix et leadership des femmes.

Et ce,  grâce à l’appui financier des affaires mondiales Canada.

PATRICK CHISHIBAMJI

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