C’est depuis les années 2013. Il faudrait identifier les auteurs et organiser des audiences foraines, à titre pédagogique.
Le Groupe d’alerte précoce, GAP KALONGE, de l’Association des femmes des médias, AFEM, dénonce les viols des femmes devenus monnaies courantes dans le groupement de Kalonge.
D’après les informations recueillies par ce groupe, des hommes en armes et non autrement identifiés viennent de violer 16 femmes.
C’est dans la semaine allant du samedi 15 au samedi 21 mai, vers Nguliro, un sous village de Cifunzi. Les victimes provenaient de Bunyakiri pour Kalonge. Chacune transportait un bidon de 20 litres d’huile de palme.
Toutes exercent cette activité de commerce pour nourrir leurs familles.
C’est depuis 2013 que des hommes sans foi ni loi s’en prennent aux dames dans les sentiers forestiers.
Nombreuses cachent avoir été abusées, de peur d’être stigmatisées.
GAP Kalonge demande à l’Etat congolais et ses partenaires, d’identifier les auteurs des viols et d’organiser des audiences foraines, à titre pédagogique.
GAP Kalonge a publié son communiqué de presse, hier dimanche 29 mai à Kalonge.
Trésor Ilanga