Des clients viennent dans des véhicules pour s’approvisionner et partir. Les vendeurs versent dans des longs marchandages. Les portefaix rôdent à la recherche des bateaux à décharger et des camions à charger.
L’ambiance redevient normale dans les marchés de sable de Bukavu qui viennent d’observer un mouvement de grève.
C’est nomment à Kalengera, Beach Muhanzi ou Société nationale de chemin de fer du Congo, Sncc.
Le ministre provincial des transports, Matthieu Alimasi, vient de suspendre momentanément la taxe sur le déchargement.
La perception de cette taxe est à quelques particuliers, dans le cadre d’un partenariat public privé.
Quelques vendeurs de sable disent payer une litanie des taxes de l’Etat.
Et ce, l’argent dépensé pour l’étalage, la location de l’espace et le stockage de sable.
Christian Kika