Quelques scientifiques du Sud Kivu s’estiment fier et heureux de voir un septuagénaire, presqu’un octogénaire, nourrir l’ambition de défendre une thèse. Plusieurs compatriotes sont décidés de l’accompagner.
« Le fantastique dans l’œuvre romanesque de Pius Nlandu Nkashama ; structure, fonction et idéologie », est l’intitulé de la thèse du doctorant Victor Ndiruhirwe. Cette fierté nécessite un soutien indéfectible de l’élite de la République démocratique du Congo.
Il s’agit dans ce texte, d’un duel entre le surnaturel angélique et le surnaturel diabolique, pour s’emparer de l’homme, qui sera toujours acquis à la victoire de l’angélique sur le satanique. Cette thèse, vu sa particularité, son contenu qui est particulièrement développé en démontrant l’ultime puissance divine lors du duel entre le surnaturel angélique et le surnaturel diabolique, paraît inédite ou simplement un travail qui orientera tout chercheur scientifique qui souhaiterait abonder dans le sens divin.
Le samedi 6 octobre 2018, Victor Ndiruhirhwe va se rendre à Kisangani pour la défense de sa thèse de doctorat. Suivra la pré-défense ou défense privée le mardi 9 octobre 2018 et la défense proprement dite aura lieu le samedi 13 octobre 2018.
Une messe d’action de grâce sera célébrée à Bukavu le mercredi 17 octobre 2018. Le doctorant tiendra une conférence scientifique à Bukavu au sujet de sa thèse le samedi 20 octobre 2018.
« Le vieux a besoin d’un accompagnement spirituel, moral et matériel. C’est une occasion pour ceux qui n’ont jamais découvert là où il habite présentement de le faire. Il en sera flatté et content. Même à partir de loin, tout intéressé peut marquer l’esprit de ce Papa qui bientôt va fêter le 80ème anniversaire de sa naissance », recommande le pasteur Mizo Kabare.
Il a fêté le jubilé d’or de son mariage il y a quelques années. Sa thèse constitue un bel exemple pour la jeunesse ainsi que les adultes, indique Nicodème Bigabwa, ancien journaliste à la radio Maria de Bukavu. Qui est véritablement Victor Ndiruhirwe ? Découvrez sa biographie dans le n°175 du journal le Souverain Libre dont la périodicité varie entre le 17 et 23 septembre 2018.
- Egide Kitumaini