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Les officiers de la police et de l’armée viennent de se regarder les yeux dans les yeux avec les chevaliers de la plume, pendant deux journées entières

Le travail du journaliste a un soubassement.

Le journaliste doit être protégé.

Il doit travailler dans un milieu sain et en toute sécurité.

Conclusion des échanges houleux entre journalistes, autorités de la police, de l’armée et de la justice.

C’est à l’issue des deux journées d’atelier que l’association Partenariat pour la protection intégrée, PPI, vient d’organiser, le mercredi 30 et le jeudi 31 septembre, à l’hôtel Elisabeth sur l’avenue Kalehe dans la commune d’Ibanda.

Et,  pour évaluer les outils de communication et les mécanismes de protection des journalistes.

Selon le directeur des programmes de PPI, Maître Pascal Mupenda, le journaliste n’est pas un criminel mais un partenaire.

Des journalistes viennent d’échanger beaucoup avec des officiers de l’armée et de la police, des cadres de la justice, et des défenseurs des droits humains au cours de l’atelier que PPI vient d’organiser.

Héritier Bashige

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