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Le grand-Kivu et la grande oriental élabore le plan national sur le principe volontaire. C’est dans un atelier interprovincial tenu pendant deux jours à Bukavu.

Le ministère des droits humains et le ministère de mine organise un atelier interprovinciale pour structurer le domaine d’action en fonction des défis rapporter par les parties prenantes et proposer des pistes d’action précise et concrète à partir des expériences locales de mise en œuvre, qui vont contenir le plan d’action national.

Les délégués  des anciennes et grandes provinces du Sud-Kivu et orientale sont dans cet atelier qui se tient à l’hôtel Résidence sur le boulevard Lumumba dans la commune d’Ibanda.

Et ce dans le cadre de consultation pour l’élaboration du plan d’action national  sur le principe volontaire de la RDC.

Selon Eric KAJEMBA de l’OGP, l’objectif n’est autre que des consultations des toutes les parties prenantes de l’Est de la Rdc pour élaboration d’un plan d’action national relatif aux principes volontaire sur la sécurité droit de l’homme dans le secteur extractif. C’est un couronnement d’un processus qui à commencer depuis 2018.

« Les principes volontaire c’est sont des critères que les entreprises ce sont données comme principe pour faire leurs opérations d’extraction, de transformation etc mais dans le respect de droit de l’homme. Ces principes  sont basés sur une discussion et un dialogue tripartite constructif entre  ces trois piliers pour dire nous faisons des opérations comment, on dialogue ensemble pour qu’on gagne ensemble, que les communautés gagnent, les entreprises gagnent qui font leur business et qu’aussi le gouvernement gagne en terme de recettes, taxe et autre »explique Eric Kajemba de l’OGP.

Il poursuit en disant que le plan d’action national est une feuille de route qui va guidé le gouvernement à mettre en œuvre les principes volontaire sur la sécurité de droit de l’homme dans son secteur extractif, les mines, le pétrole et le gaz.

Les participants viennent ce lundi 1er octobre d’examiner l’arrêté interministériel sur les modalités de suivi du plan d’action et de présenter le canevas.

Les acteurs du secteur privé telle que les grandes entreprises industrielles, les coopératives minières, les négociants, les comptoirs d’achat, le ministère des droits humains, le ministère des mines et des hydrocarbures, la société civile mais également les forces de sécurité publique que privé qui interviennent beaucoup dans les questions de droit de l’homme et de la question de la sécurité ont pris part à ces accises.

La Direction du développement et de la coopération Suisse finance l’activité.

Le centre pour la gouvernance du secteur de la sécurité Genève, l’observatoire gouvernance et paix, OGP, et la chambre des mines de la fédération des  entreprises du Congo, FEC, apportent leur appui technique.

Rachel FADHILI

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